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Antoine Corriveau
printemps, printemps
Printemps, printemps comme une fille laissée derrière, sans se retourner, malgré le soleil du matin trop aveuglant.
Un groove dense et trainard de lendemain de grand soir.
« Je fixe les regards inquiets / Des photos sur le mur / Qui voient venir le fond de la boîte à chaussures »
Printemps, printemps comme claquer la porte sur les amours mortes.